Pour ce projet annuel très attendu, Francis Kéré a imaginé un lieu de rencontres, comme dans son village natal du Burkina Faso, où on se retrouve sous le baobab. Le pavillon est construit de manière temporaire et la découverte de l'oeuvre est un événement que je ne rate pas.
L'herbe jaunie de cet été met bien en valeur l'installation, et ce jour très ensoleillé est parfait pour se mettre à l'ombre du toit géant.
Le tronc est vide au centre, on peut y entrer par plusieurs ouvertures, s'y asseoir à l’intérieur ou à l’extérieur. Le lieu est convivial, pour prolonger le temps de la visite, un petit café est ouvert sur place.
Au centre, le toit laisse apparaître un puits de lumière, aménagé aussi de sièges.
Le visiteur est poussé à entrer, faire le tour de la structure, admirant les perspectives, les effets de transparences grâce à des matériaux qui laissent passer la lumière. Les jeux d'ombres sont intéressants, et les coursives donnent envie de se cacher (mais pour l'heure pas d'enfants à l'horizon).
Le temps de palabrer avec mon amie Delphine, et nous repartons !
En 2015, on avait découvert une chrysalide spectaculaire
superbe ! merci... toi qui as été en Afrique, tu as dû adorer !
RépondreSupprimerbisous
Anne